NOM(S) Clarkson, grâce à son anglais de père PRÉNOM(S) Rose, que lui a donné sa française de mère. ÂGE 35 ans, ça commence à dater. DATE ET LIEU DE NAISSANCE 20 mai 1982 à Londres, la plus belle ville du monde. NATIONALITÉ américaine, c'est beau quand même. STATUT CIVIL mariée, mais plus pour très longemps. ORIENTATION SEXUELLE elle ne se force pas à entrer dans une case, elle apprécie les relations sexuelles avec les femmes, même si elle ne se voit pas faire sa vie avec. MÉTIER avocate acharnée. CLASSE SOCIALE moyenne haute CARACTÈRE déterminée, vantarde, revancharde, jalouse, égoïste, rancunière, perfectionniste, protectrice, manipulatrice, en apparence très douce.
Je suis née en Angleterre, d'un père anglais dont je tiens mon nom, et d'une mère française, qui m'a donné mon prénom. ▲ Je carbure au café, même si je déteste son goût. ▲ Je déteste les fast food, la malbouffe, très peu pour moi. ▲ C'est mon caractère qui m'a amenée à être avocate. Je déteste perdre, c'est une hantise. ▲ Je suis mariée, mais la flamme a disparu il y a longtemps. ▲ Je reste uniquement pour ma fille, qui a le droit à un environnement stable. ▲ Une fois qu'elle sera partie du domicile, je divorcerai certainement. ▲ Je dors maximum 4h par nuit, je déteste les grasses-matinées. ▲ Personne ne le sait, mais je trompe régulièrement mon mari, avec des hommes, mais aussi des femmes. ▲ J'aime mon métier plus que tout, sauf ma fille, et je le fais uniquement pour gagner, peu importe si mon client est réellement coupable ou non.
SF, tu l'aimes ou tu la quittes Mon père a quitté l'Angleterre pour San Francisco lorsque j'avais cinq ans, pour son travail. Un an plus tard, ma mère et moi avons suivi, et l'avons rejoint. Autant dire que je ne me souviens quasiment plus de ma vie en Angleterre et que je me considère purement américaine.
tell me something i don't knowPSEUDO Fidjy PRÉNOM Elise. ÂGE 24 ans PAYS France INVENTE/SCENARIO inventé OÙ AS TU CONNU LE FORUM? Par Rafe CRÉDITS gifs trouvés sur tumblr et avatar de class whore. DOUBLE COMPTE ? non.
Rose Clarkson
À SF depuis : 24/08/2017 Messages : 11 Dollars : -4
« Chers membres du jury, déclarez-vous l'accusé, Steven Irons, accusé de meurtre avec préméditation, coupable ou non coupable ? » « Non coupable, votre honneur. » Je me relevai à l'énoncé du verdict, triomphante. Mon client laissa éclater sa joie alors que sa mère me prenait dans ses bras avec vigueur. De l'autre côté, la famille de la prétendue victime était effondrée, jetait de mon côté des regards haineux. Peu m'importait, j'avais encore une fois remporté une affaire qui paraissait perdue d'avance. Mon client avait bel et bien assassiné son jeune amant, après qu'il ait menacé de dévoiler son homosexualité à sa famille. Je rentrais chez moi satisfaite de mon travail. A la maison, mon mari et ma fille regardaient la télé. Dans la soirée, je lui fis faire ses devoirs et la couchais, soirée habituelle. Puis, vers minuit, un coup de fil. Ni une ni deux, je sautai dans des vêtements. Mon mari s'interrogea, je le prévins en coup de vent que ma supérieure avait besoin de moi pour une affaire de la plus haute importance. Une fois dans la voiture, je me dirigeais dans le sens opposé du cabinet. Arrivée sur le parking désert d'un cinéma, je rejoignais la seule autre voiture garée là et je m'y engouffrai à l'arrière. « Alors sexy, t'en as mis du temps, j'en peux plus moi. » « Désolée, il fallait que je sois crédible. » Je passais une jambe par-dessus ma conquête, afin de me retrouver à cheval sur ses jambes. Sans même attendre d'approbation, je passais sa main sous la jupe de la brune qui n'attendait que moi, et fis mon affaire. Une demi-heure plus tard, je retournai à ma voiture, où je patientais près d'une heure avant de revenir chez moi, feignant la fatigue. Tel était mon quotidien depuis quelques années. Des affaires juridiques, m'occuper de ma fille chérie, et enchaîner discrètement les conquêtes dans le dos de mon mari. Comment en étais-je arrivée là ? Aucune idée. J'avais toujours été bien élevée, avec amour, par mes parents. Mais gagner était, depuis longtemps, mon seul intérêt. Souvent première de ma classe, j'écrasais la concurrence du mieux que je le pouvais. Mais un faux pas et ma carrière serait fichue, elle qui tient sur mon exemplarité, tant en affaires qu'en famille.
Rafe Sierra
Who cares if one more light goes out?
À SF depuis : 07/08/2017 Messages : 365 Dollars : 307
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« Chers membres du jury, déclarez-vous l'accusé, Steven Irons, accusé de meurtre avec préméditation, coupable ou non coupable ? » « Non coupable, votre honneur. » Je me relevai à l'énoncé du verdict, triomphante. Mon client laissa éclater sa joie alors que sa mère me prenait dans ses bras avec vigueur. De l'autre côté, la famille de la prétendue victime était effondrée, jetait de mon côté des regards haineux. Peu m'importait, j'avais encore une fois remporté une affaire qui paraissait perdue d'avance. Mon client avait bel et bien assassiné son jeune amant, après qu'il ait menacé de dévoiler son homosexualité à sa famille. Je rentrais chez moi satisfaite de mon travail. A la maison, mon mari et ma fille regardaient la télé. Dans la soirée, je lui fis faire ses devoirs et la couchais, soirée habituelle. Puis, vers minuit, un coup de fil. Ni une ni deux, je sautai dans des vêtements. Mon mari s'interrogea, je le prévins en coup de vent que ma supérieure avait besoin de moi pour une affaire de la plus haute importance. Une fois dans la voiture, je me dirigeais dans le sens opposé du cabinet. Arrivée sur le parking désert d'un cinéma, je rejoignais la seule autre voiture garée là et je m'y engouffrai à l'arrière. « Alors sexy, t'en as mis du temps, j'en peux plus moi. » « Désolée, il fallait que je sois crédible. » Je passais une jambe par-dessus ma conquête, afin de me retrouver à cheval sur ses jambes. Sans même attendre d'approbation, je passais sa main sous la jupe de la brune qui n'attendait que moi, et fis mon affaire. Une demi-heure plus tard, je retournai à ma voiture, où je patientais près d'une heure avant de revenir chez moi, feignant la fatigue. Tel était mon quotidien depuis quelques années. Des affaires juridiques, m'occuper de ma fille chérie, et enchaîner discrètement les conquêtes dans le dos de mon mari. Comment en étais-je arrivée là ? Aucune idée. J'avais toujours été bien élevée, avec amour, par mes parents. Mais gagner était, depuis longtemps, mon seul intérêt. Souvent première de ma classe, j'écrasais la concurrence du mieux que je le pouvais. Mais un faux pas et ma carrière serait fichue, elle qui tient sur mon exemplarité, tant en affaires qu'en famille.
Et bon courage pour ta fichette 