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 (intrigue - sujet commun) lock down at westfield.


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Admin
Fate of SF

Fate of SF
Admin
À SF depuis : 05/12/2016
Messages : 177 Dollars : 17


Lock down : mall.
let the fate do the rest.


Personne ne l'avait remarqué. Aucun des passants n'avaient prêté attention à cet homme malade marchant d'un air las et le regard vide dans une des galeries principales du centre commercial.
C'était un jour comme un autre dans le Westfield Center. Il était environ 16 heures : l'heure de pointe, l'heure où les commerçants faisaient le chiffre d'affaire de la journée.  Tous obnibulés par leur envie d'acquérir, d'acheter, au point d'à peine remarquer que l'état du pauvre était de plus en plus critique. Il s'appuya à la rembarde d'un escalator, un inconnu posa une main bienveillante sur son épaule, lui demandant s'il avait besoin d'aide. Le malade se retourna, limite inconscient, essaya de parler mais la seule réponse fut un toussotement vers le visage de son interlocuteur. Les petites tâches de sang sur la joue du passant le fit se reculer. Il tenta de s'excuser mais il toussa de plus belle, il y avait de plus en plus de sang qui sortit de sa bouche. Beaucoup trop de passants se retournèrent pour qu'il puisse passer inapeçu à cause de tout ce sang. L'homme titubait, continuait de marcher vers une direction inconnue. Il ignorait royalement les gens qui lui proposaient son aide. Son état empirait. Sans savoir ni comment ni pourquoi, il s'écroula par terre. Pris d'une vague de convulsions, il se mit à trembler violemment ses yeux viraient au blanc avant qu'li ne cesse de bouger. Quelques minutes après,  c'était l'alerte générale des médecins en masse couraient un peu partout. Par mesure de sécurité, on ferma les portes du centre commercial. Personne ne pouvait sortir ni entrer, jusqu'à nouvel ordre.



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Cleo Esterhazy

Cleo Esterhazy
À SF depuis : 05/12/2016
Messages : 583 Dollars : 53



lock down : mall
RP DE GROUPE

keep calm ✻✻✻ Je sors d'une de mes boutiques préférées et sors mon téléphone de ma poche. Pas de nouvelle de Nicholas. Je ne sais même pas pourquoi je suis surprise de son retard mais en soit ça ne me dérange pas plus que ça. Je n'aurais pas dit non à un petit message pour prévenir, mais je ne rechigne pas à savoir Zoey en sa compagnie. Ca n'arrive pas aussi souvent que ça le devrait et je suis certaine que ça leur fait du bien à tous les deux. Il a beau être une des personnes les plus immatures que je connaisse, je sais qu'il tient à notre fille et qu'il ne peut pas lui arriver grand chose en sa compagnie. Du moins, c'est dont j'essaye de me convaincre pour les laisser tranquille et ne pas devenir cette mère insupportable qui pense sa fille en feuille de verre. Je me prends un café et marche au milieu de la galerie quand je remarque un groupe s'écarter brusquement d'un homme qui vient de s'écrouler. « Ne vous approchez pas,  attendez les secours. » Je crie, en espérant que personne ne le touche. C'est un réflexe naturel mais depuis trois jours on entend plus parler que de ça dans les infos : ce virus dangereux, qui se propage vitesse grand V. Un gars de la sécurité décide d'intervenir et j'abandonne mon café pour garder la foule à l'écart alors qu'un médecin, munis de gants et d'un masque s'approche du malade. La vue qui s'offre à nous fait peur à voir et aussi pessimiste que ce soit, je ne donne pas cher à sa vie vu son état. Le médecin se relève et je le vois souffler quelque chose à l'oreille du garde qui se précipite vers un bouton d'urgences. Bouton qui verrouille les portes du centre commercial en quelques secondes à peine. « C'est une simple mesure de sécurité. Restez à un mètre les uns des autres. » La voix du médecin tremble, et je ne sais dire si c'est par peur ou parce qu'il n'est tout simplement pas habitué à s'adresser à une foule. Foule qui commence sérieusement à paniquer, moi y compris. Je recule d'un pas pour m'assurer de n'être proche de personne et reste figée en réalisant que trois personnes tentent de forcer les portes pour sortir. Je sais que je devrais faire quelque chose mais mon corps refuse d'obéir. Tout le monde parle en même temps, j'ai l'impression d'être sur le marché du dimanche - avec un mouvement de panique à la clé - mais au lieu de faire régner l'ordre, je reste là à observer la scène..
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Anonymous

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Invité


Un café à la main, tu te faufiles parmi la foule du centre-commercial, te fondant dans la masse. T'en avais pour quelques secondes seulement et voilà que ces cons te ralentissent dans ton itinéraire. Tu portes le gobelet entre tes dents que tu mords fermement pour ne pas le laisser tomber alors que tu retrousses la manche de ton pull pour vérifier l'heure qu'indique ta montre. Seize heures. Tu lèves les yeux au ciel, sachant maintenant pour quelle raison il y a autant de monde et t'avales la dernière gorgée de ton café avant de le lancer dans la première poubelle que t'aperçois. Au loin, un groupe de gens s'est formé et tu plisses les yeux -comme si ça t'aiderait à mieux voir- observant distraitement la scène avant d'hausser les épaules et de t'élancer vers la sortie. Tu pivotes le menton lorsqu'une voix s'élève alors que le même groupe commence à s'agiter, s'éloignant les uns des autres. Une de tes mains se pose contre la poignée de la porte de sortie alors que ton regard est toujours rivé sur l'amas d'humain. Curieux, t'es tenté d'aller voir ce qui se passe, mais le temps te manque et tu reportes ton attention sur la poignée que tu tires vers toi. Bloqué. Mh? T'empoignes l'autre d'à côté. Verrouillé aussi. What the fuck? Tu les essais toutes, sans succès. Tu croises un garde qui se dirige vers la foule et tu l'interceptes en te plantant devant lui. « 'Scuse! J'peux tu savoir pour qu'elle fucking raison j'peux pas sortir d'ici? » Tu lui demandes, un sourcil arqué, alors qu'il t'ignore complètement, te contournant pour rejoindre la foule d'un pas pressé. Tu t'élances donc à sa poursuite -pour l'envoyer se faire foutre- mais tu t'arrêtes net lorsque tu vois le spectacle macabre sous tes yeux. Du sang. Il y en a partout.
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Anonymous

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lock down : mall
RP DE GROUPE

❝We Stressed out❞ ϟ ϟ ϟ ϟ  
1 semaine s’était écoulée depuis mon retour de voyage avec Henry. Déterminée, j’avais déjà commencé à regarder pour m’acheter une maison et profiter du montant d’argent que mon charmant papa m’avait donné… Cependant, il était temps que j’apprenne à prendre soin de moi. Direction le centre d’achat pour m’acheter une nouvelle garde-robe et me permettre une nouvelle tête. Assise derrière le volant de ma nouvelle voiture, je prenais la direction du mail. Je chantais les chansons qui passaient à la radio, me promettant de me remettre à la musique un jour. Voiture garée, je me dirigeais vers le salon de coiffure pour me refaire une beauté. Rapidement, je me retrouvais assise sur une chaise, prête à opérer les changements. Près de 2h plus tard, je sortais, nouvelle tête. Je secouais ma tignasse brune puis m’apprêtait à prendre la direction de la sortie lorsqu’il commença à avoir du mouvement. Je regardais autour de moi, ne comprenant pas puis je vis l’homme, couvert de sang. Une vision d’horreur. Je reculais, nerveuse puis je vis Jimi. Sans attendre, je le rejoignais rapidement, l’attrapant par le bras, glissant mes doigts entre les siens. Je ne l’avais pas revu depuis notre fameuse nuit… Près de 1 semaine et demie. Donnez-moi une chance, j’avais foutu le camp en voyage. «On devrais pas rester aussi près… Ça semble pas ne être normal… » À ce même moment, le gardien nous demande de nous défaire des uns les autres, de garder nos distances. J’hausse un sourcil, gardant Jimi près de moi. « On dirait une pandémie… » Je glissais mon regard vert dans celui de Jimi, un peu inquiète puis je le tirais un peu pour que nous reculions, loin de l’homme qui convulsait… C’était plus fort que moi, je ne voulais être mêlée à ça… Et je ne voulais non plus que Jimi soit atteint et qu’il choppe un truc… Je tiens à lui après tout…
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Anonymous

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lock down : mall

Le centre commercial. C’est un peu comme aller au cinéma. Ou au théâtre. Ou au zoo. Sauf que l’entrée est gratuite, donc c’est forcément mieux.
Tu regardes les gens évoluer et ça t’amuses. Tous ensembles, c’est un amalgame insolite. C’est un peu comme mettre des chèvres et des éléphants dans le même enclos : ils ne font jamais ça, pourtant ça pourrait être intéressant.
Assise sur un banc que tu défends hargneusement contre tous ceux qui voudraient y poser les fesses, tu bois en de longues lampées bruyantes le soda que tu viens d’acheter. Tu n’aimes pas les bulles : ça picote sous ton crâne, ça pique la gorge et ça éclate dans ton ventre. Alors, tu fronces le nez et les sourcils en une moue dégoutée. Puis, tu reprends une gorgée. Malheureusement et sans logique apparente, elle n’est pas meilleure.
Autour de toi, les gens s’agitent. Ils vivent leurs vies, yeux rivés sur leurs propres pieds ou bien droit devant, vers le point à atteindre. Et ils ne prennent pas le temps. Leurs regards obstinés ne tolèrent aucun obstacle et ne s’arrêtent nulle part. Tu te demandes s’ils voient mieux qu’un aveugle. Alors tu fermes les yeux. Et tu observes avec tous tes autres sens. Tu les rouvres et tu souris. Tu as la réponse.

L’ambiance a changée. L’air semble différent ; plus lourd, moite.
On ne brasse plus autant d’air, autour de toi. Les gens quittent tes environs, presque précipitamment. Les voix changent. Tu entends, de loin, que la cadence s’accélère. Les rythmes de paroles ne sont plus les mêmes. Les timbres te paraissent plus aigus, comme… effrayés. Ça t’interpelle, tu sens que ton cœur rate un battement. C’est toute la dynamique qui change, ton organisme le ressent et réagit. Tu ne sais pas ce qu’il se passe. Tu ne vois rien, tu tournes le dos au spectacle. Raidie sur ton banc, tu hésites à te retourner.
Quelqu’un crie de ne pas approcher. Y aurait-il un lion dans l’enclos des daims ?
Tu imagines déjà ce qui est en train de se passer. Un assassin évadé de prison qui retient quelqu’un en otage. Un Alien pas réellement venu en paix. Un monstre qui s’est échappé des enfers et a réussi à venir sur Terre. Ou peut-être le cousin Momo qui, encore une fois, sous l’influence de l’alcool, se déshabille en public ; ça c’est vraiment flippant, tu le sais bien.
Tout ton courage n’a pas besoin d’être tenu à deux mains, alors tu le prends à une seule et tu te lèves. Tu bloques ta respiration. Et, les dents et les poings serrés, tu te retournes.
Tu souffles doucement tout l’air de tes poumons. Et tu t’approches de la masse. De cette nuée brouillonne aux yeux écarquillés et aux bouches entrouvertes.
Tu te fraies un chemin en bousculant quelques personnes. Pour les plus récalcitrantes qui ne bougent pas même si tu l’ordonnes, tu leurs enfonces ton doigt entre les côtes. Ça fonctionne toujours, ça.
Ah, le voilà, le centre de l’attention ! Tu observes un instant. Très court. La tête un peu penchée. Tout est plus clair, de travers.
Et tu t’en vas. Au même moment, les portes sont verrouillées. Personne n’entre ni ne sort. Ça s’annonce amusant.
Tu sais ce que c’est. Tu sais ce qu’il a. Tu sais exactement ce qui va se passer.
Un sourire de victoire s’affiche sur ton visage, pendant que tu marches en direction d’une fille d’à peu près ton âge. Elle est prostrée dans un coin, observatrice muette. Tu laisses de la distance entre elle et toi, mais pas parce que c’est ce qu’il faut faire ; non, juste parce que tu n’aimes pas qu’on te vole ton air.
Et, comme tu es gentille et que tu sais que seule tu ne survivras jamais, tu lui dis : « Ça y est. Je savais que ça arriverait. Une apocalypse zombie. ». Tu secoues la tête en soupirant. Tu espères qu’elle sait courir, cette nana.

© charney
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Anonymous

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Lock down → mall.

Le bras tendu, tenant fermement son téléphone en face d'elle, tout en rentrant dans le centre commercial, Lux parlait toute seule. Enfin à première vu. En réalité, elle documentait, comme à son habitude sa journée, et aujourd'hui elle était en direct sur instagram, pour cette petite sortie, qu'elle avait prévu depuis quelques jours déjà. « Bon là j'arrive enfin au centre commercial, j'ai hâte de voir la nouvelle collection. » dit-elle alors que les portes automatiques s’ouvraient devant elle et qu'elle pénétrait dans la galerie marchande. Elle avait été contactée par une grande de maquillage pour présenter leur nouvelle collection de rouge à lèvre à ses abonnés, mais évidemment ça, ses followers l'ignoraient. Elle n'avait rien dit à ce sujet, car  bon nombre d'entre eux n'aimaient pas ce côté « commercial », il fallait donc leur faire croire qu'elle était spontanément venue ici pour voir la nouvelle collection de cette marque, sans leur dire qu'en réalité, elle avait depuis longtemps reçu un colis chez elle avec tout ces fameux rouge à lèvre. Elle poursuivait son directe jusque dans le magasin de la marque, bavardant avec une vendeuse, visiblement assez fan, avant d'essayer plusieurs couleur du nouveau lipstick sur son avant bras. « Franchement, ce rouge foncé est trop canon. C'est le genre de couleur qu'on peut porter tout les jours. » Conseilles beauté part-ci, part-là, le tout sous le regard de la vendeuse qui par moment se permettait de lui faire passer d'autre teinte de cette nouveauté hors de prix. Après une bonne dizaine de minute dans la boutique elle ressortait avec un petit sac bien rempli, tombant nez à nez avec une grande pancarte publicitaire d'une célèbre marque de soda avec laquelle elle avait collaboré. Elle tourna sur elle même pour, tout en se filmant, montrer à ses abonnés cette grande affiche sur laquelle on pouvait la voir. « C'est un truc de fou ! » lâcha t-elle un grand sourire collé aux lèvres. Elle détourna son attention de son téléphone en voyant un homme tituber avant de tomber à terre. « Ya un mec totalement bourré au centre commercial. » dit-elle en pouffant de rire. S'apprêtant à tapoter sur l'écran de son portable pour changer de caméra et montrer à ses abonnés l'homme qui venait de tomber par terre. Mais alors qu'elle approchait sa main de son portable, son sourire quitta aussitôt ses lèvres. L'homme convulsait. Certains passants s'arrêtaient, tout comme elle, d'autre, plus courageux, se rapprochaient pour aider le pauvre homme. « Ah non, en faite il est pas bourré....Il se passe un truc bizarre... » se contenta t-elle de dire à mi-voix, tenant toujours son téléphone en face d''elle, sans pour autant quitter des yeux l'attroupement qui se formait autour du malade. Une jeune femme (Noa) cria à tout le monde de s'éloigner et d'attendre les secours. Lux fit rapidement le rapprochement avec cette épidémie qui frappait la ville. Elle avait passer ses journées à la radio à répéter des messages de prévention, sans vraiment y croire, n'ayant jamais croisé de malade. Des médecins arrivèrent en courant, certaines personnes, paniqués, courraient vers les sorties qui étaient à présent fermées. « Bon... j'suis en quarantaine dans le centre commercial. VDM. » dit-elle, reportant son attention sur son téléphone, s'éloignant de l'allée et de sa précieuse pancarte publicitaire, pour se mettre dans un coin avant d'annoncer à ses abonnés qu'elle allait arrêter ce directe ici et qu'elle les tiendrait au courant de l'évolution de la situation sur twitter.

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Anonymous

Invité
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Tu te figes, les yeux rivés sur l'homme qui convulse tout en crachant du sang. Quelqu'un te prend par le bras et tu sursautes presque, prêt à lui faire une baffe, mais tu te retournes juste à temps pour apercevoir la blonde, maintenant devenue brune. « Lenny? » Tu lui demandes, un sourcil arqué. Question stupide, bien sûr que c'est elle, idiot. T'ignores ce qu'elle fout là, mais ce n'est pas vraiment le moment de l'interroger sur ses activités, surtout que c'est la première fois que tu la revois depuis... cette nuit-là. On devrais pas rester aussi près… Ça semble pas ne être normal… No shit. Le gardien intervient, vous demandant de vous séparer, mais la blon... brune ne l'écoute pas et tu glisses ton bras derrière son dos pour l'attirer davantage contre toi. Hors de question que tu t'éloignes d'elle, tss! On dirait une pandémie… Ou l'apocalypse zombie est enfin arrivé et, malgré tes craintes, t'es tout de même excité à l'idée de le voir se relever pour sauter au cou de la première personne qu'il osera s'approcher de lui. Ce sont les yeux verts inquiets de Lennox qui t'oblige à revenir sur terre alors qu'elle recule, te forçant à faire pareil. Tu détaches ton regard de celui de la danseuse et tu repères une petite silhouette que tu connais trop bien au loin. Surpris, tu fronces les sourcils, la bouche entrouverte alors qu'elle pianote sur l'écran de son portable. « Lux? » Tu t'exclames à voix haute -te souvenant de son prénom, cette fois-ci- comme si elle allait t'entendre parmi tout ce brouhaha. What the fuck? Ton carnet de baise s'est passé le mot pour se retrouver au centre commercial en même temps que toi ou quoi?

À James:
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Intrigue #1
Lock Down - Mall
Journée banale. Enfin plus ou moins. Levé plus tôt que ce que j'en ai l'habitude, hormis lorsque le cerveau part en crise, j'arpente le mall de long en large depuis un moment maintenant. Pulse organisant un évènement bientôt au centre commercial, j'ai été envoyé en repérage. Et puisqu'on a absolument aucune confiance en mon tact et mon talent de négociation - avec raison, je m'en cache pas - je me retrouve à coller aux basques de Even. L'organisation et la gestion, c'est son domaine. Définitivement pas le mien. Mon style sur les ondes la nuit commencent à faire parler aussi de jour, donc j'assurerai une partie de l'animation de l'évènement et puisque je touche aux consoles et aux branchements… ben, c'est je suis le contrat parfait pour économiser de l'argent, voyons! L'ennui, c'est qu'ils ont pas capté que je changerai jamais d'horaire.

Tournant un coin, j'écoute ce que le rouquin dit avant que mon attention ne soit détournée par un rassemblement un peu plus loin. "C'est quoi ça?" le questionnais-je, même s'il doit être plus aux nouvelles que moi. La curiosité poussant, je me dirige vers le groupe. Qu'est-ce qui est arrivé au chat trop curieux déjà? Ouais, ben, j'aurais dû m'en souvenir avant de bouger! À peine mes yeux se pose sur la mare de sang que je blêmis, une autre image s'imprimant sur mes rétines. Je recule d'un pas. Ça parle de pandémie. Je sais pas, mais c'est un putain de cauchemar. Finissant par détourner les yeux du spectacle macabre qui m'en rappelle un autre, mon regard accroche une silhouette aux cheveux bruns. "Amanda…" murmurais-je.


@Even G. Fitzgerald  @Lennox A. Sherman
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Intrigue #1
Lock Down - Mall

Le centre Commercial .
Tu soupire encore une fois en faisant quelques pas dans cet endroit bruyant, grand, et tellement remplis de gens. Et tu te demande pourquoi? Pourquoi ton patron ne peut pas penser avec autre chose que ce qu’il a entre les jambes? Pourquoi ne peut il dire non, quand une femme, un tant soit peu mignonne lui propose “l’affaire du siècle” ?
“l’affaire du siecle” : Préparer le lancement d’un album dans un endroit bondé , avec un flashmob sur la musique du dit album, sans oublier une forte exposition au public cible, avec en sponsors quelques commerçant qui veulent apparaître dans la vidéo.
En d’autre termes : Faire un flashmob dans un mall, puis une fête, filmer le tout, puis sortir un clip vidéo pour le premier titre de cette nouvelle star que vous venez de signer, avec des placement produit Coca et Macdo...

Tu exagère bien sure. Tu es de mauvaise fois, parce que tu détestes faire des événements dans ce genre d’endroit. La sono y sera affreuse, l’écho va casser toute l’ambiance, et … tu ne pourra pas assurer tout l’espace pour éviter les dérapages.
Mais surtout… Qui est ce qui fait encore des Flashmobs?!
Ça te déprime.
Heureusement que tu es accompagné par HS. Tu l’as recommandé il y a quelques temps. Juste après avoir écouté l’un de ses titres, que t’as trouvé dans un flash qu’il t’as prêté. Depuis, tu essaie de convaincre ton boss de l’importance du brun qui marche à côté de toi.
Sauf que tu n’as pas assez de nibars, et beaucoup trop de cerveau pour qu’il admette que tu as raison du premier coup. Il te faudra répéter l’information encore quelques fois, et montrer les talents du DJ, pour que le manager le comprenne.
-Ca va demander une putain de sono pour tout couvrir.
T’exclame-tu
-Les vitres la, faut vérifier si elles vont pas vibrer à cause de …
Quelque chose t’interromps, alors que tu pointe les vitre du doigts. Tu te retournes et voit que, déjà, Henry se diriges vers la provenance de cette agitation.
Et ça te fais soupirer… encore. Voilà ce à quoi tu devras t’attendre pendant l’événement: Des disputes, des attroupement, une femme qui s'évanouit, un enfant qui vole dans un magasin...
-Qu’est ce que c’est cette fois?
Demande tu, à personne en particulier, tout en te rapprochant à la suite de ton ami.
Du sang? “Merde! ça ne présage rien de bon” penses-tu.
Tu continue à fixer le sol, et remarque que les gens continuer à s’attrouper, sans vraiment s’approcher du centre. C’est la dernière information que ton esprit note, avant que tes yeux ne tombent sur ce qui te file la chaire de poule : les portes entrain de se fermer.
-Henry ?
Commence tu d'une petite voix
-Amanda
Dis t il. Un moment tu es tenté de le corriger, que toi tu t’appelles Even, avant de remarquer la fille à qui il s’adresse.
Alors tu te tais, et tu essaie de penser à autre choses. Tu te répète qu’en fait, tu ne PEUX PAS être claustrophobe dans un centre commercial. Tu ne peux juste pas ! Pas une seconde fois devant Henry.Tu ne peux pas te laisser aller à la panique, parce que le plafond est haut, les murs sont loins … Les portes sont fermé…
Mais, t’y penses ! Pourquoi les portes se ferment ?
-Qu’est ce qui se passe ?
Demandes tu à la jeune femme que HS a nommé Amanda, l’étrangeté de la situation, te sortant de ta crise de panique.
Pour l’instant.

@Q. Henry Stuart  @Lennox A. Sherman
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